Du 19 au 23 juillet 2023, l’Association Cinécyclo et Paris je t’aime vous embarquent pour cinq séances de cinéma en plein air d’un nouveau genre.
Le principe est simple : spectateurs et spectatrices sont invité.es à se relayer sur un vélo pour générer l’électricité nécessaire à l’alimentation d’un projecteur et de haut-parleurs. Testé et approuvé depuis 2015 au gré de tournées festives au Sénégal, en Amérique du Sud et dans bon nombre de régions de France, ce dispositif low-tech et autonome permet la diffusion de la culture dans des environnements divers et variés, à ciel ouvert.
Durant la journée, le matériel est transporté à bicyclette par un binôme de Cinécyclo. Lorsque le soleil se couche, place au spectacle et à la magie du cinéma ! Mettant à l’honneur des films poétiques et engagés, les projections de Cinécyclo visent à questionner notre modèle de société et présenter des récits porteurs de sens !
Cet été, l’association Cinécyclo pose ses sacoches sur le territoire du Grand Paris le temps de cinq soirées et autant de programmations éclectiques qui raviront tous les publics, des plus jeunes aux plus sages !
Du 19 au 23 juillet, le cinéma en plein de Cinécyclo fait 5 escales en région parisienne : Saint-Denis (le 6b), Saint-Ouen (Grand Parc des Docks), Aulnay-sous-Bois/Villepinte (Parc départemental du Sausset), Sceaux (Guinguettes de Sceaux) et Paris (square Sarah Bernhardt),
A partir de 21h45
6-10, quai de Seine - 93200 Saint-Denis
RER : Saint-Denis
Conte écologique nous plongeant au cœur du monde sous-marin, au rythme des méditations d’une baleine, témoin privilégié de l’action humaine sur les océans.
Un groupe de jeunes Grenoblois se lance dans un projet de vélo-ski à la porte des Alpes. Bien au-delà de la performance, alliant technicité et intelligence, le film propose une véritable réflexion sur notre approche de la montagne.
Pendant 15 ans, la communauté de Pointe-Saint-Charles s’est lancé le défi de donner corps à son idéal politique, environnemental et relationnel : Le Bâtiment 7. Mais comment maintenir le cap à travers les années pour passer d’utopie insaisissable à projet durable ?
Érik nous amène dans son univers fait de trouvailles et d’objets insolites. Le personnage à hauteur d’homme nous fait visiter la démesure de la consommation avec humour.
Portrait de Daniel, le boulanger de Quily qui réinventa son métier.
A partir de 21h45,
Amphithéâtre, 12 rue Albert Dhalenne - 93400 Saint-Ouen-sur-Seine
Métro : Mairie de Saint-Ouen
Aujourd’hui, un tiers de l’humanité ne voit pas les étoiles. D’ici 2050, cela pourrait même être une personne sur deux. La pollution lumineuse a un impact négatif sur le vivant, astronomie et les ressources énergétiques. Nous avons besoin des étoiles. Et depuis dix ans, des hommes et des femmes se mobilisent pour les sauver.
A 22h,
Avenue Raoul Dufy - 93600 Aulnay-sous-Bois
RER : Villepinte
Patouille est un petit être merveilleux qui vit au rythme des végétaux. Aux côtés de son ami Momo, il découvre les spécificités incroyables des plantes.
C’est dans le tréfonds de la nuit d’automne que le cerf se révèle. Jeux de clair-obscur et discrètes lueurs, ambiances irréelles et flous surprenants dévoilent peu à peu la silhouette admirée de l’animal. Comme dans un conte plein de mystères, les images subtiles et originales du photographe Vincent Munier transportent celui qui sait regarder au cœur de la forêt profonde.
Un serpent au sang trop froid et un chameau au sang trop chaud se lient d’amitié.
Nicolas aurait pu reprendre l’exploitation agricole familiale mais a fait le choix de s’installer sur d’autres terres, loin des siens. Au-delà d’un contrepied en termes de philosophie et de mode de production par rapport à la génération précédente, son départ marque surtout un besoin d’indépendance et de liberté.
Une forêt d’un genre nouveau va bouleverser les principes d’une agent forestière conditionnée par son travail.
Citadin, Citadines, voici une information de la plus haute importance : les vélos sont de retour dans nos villes !
Traiter l’écologie avec ironie, quoi de plus efficace ? Pourquoi se voiler la face ? Nos actes détruisent la planète, alors encourageons-les !
Toute sa vie Alexis Robert a mis au centre de sa vie et de ses différents métiers les valeurs de l’accueil, l’écoute, la bienveillance et la sobriété. Dans sa ferme et sur les terres qui l’entourent, il accueille des personnes en woofing ou qui ont simplement besoin d’un temps pour eux, pour souffler.
A partir de 21h45,
Jardin de l’Amiral, 110 rue Houdan, 92330 Sceaux
RER : Sceaux
Quand le cœur du poète bat au rythme de la ville, virevolte avec les girouettes, la vie jaillit en feu d’artifice.
Un serpent au sang trop froid et un chameau au sang trop chaud se lient d’amitié.
Citadin, Citadines, voici une information de la plus haute importance : les vélos sont de retour dans nos villes !
Un jour, sorti de nulle part, un énorme rocher fait son apparition au milieu du petit village tranquille où vit Luce. Les villageois ne peuvent même plus ouvrir la porte de leur maison. Luce est en colère : va-t’en Rocher, tu n’as rien à faire ici ! Et d’ailleurs, qu’est-ce que tu fais là ?
Diane ne peut plus faire semblant de ne pas voir la fuite qui coule au-dessus de la table du repas familial…
Sous le soleil des derniers jours d’été, un jeune homme se prépare à quitter le foyer familial.
Un groupe de jeunes Grenoblois se lance dans un projet de vélo-ski à la porte des Alpes. Bien au-delà de la performance, alliant technicité et intelligence, le film propose une véritable réflexion sur notre approche de la montagne.
A partir de 21h45,
2 rue de Buzenval - Paris 20e
Métro : Nation
Chaque jour, un homme et son fils sautent en parachute de leur maison glaciale, perchée à flanc d’une vertigineuse falaise, pour aller au village d’en bas vendre leur production de glace.
Une fois par semaine, à Amsterdam, un groupe de femmes migrantes apprennent à faire du vélo. A l’initiative de ces leçons se trouve Agartha Frimpong, dite Mama Agatha, qui poussent ces femmes à abandonner leurs peurs et à se mettre en selle. Arrivée aux Pays-Bas en 1984, la Ghanéenne a appris le vélo sur le tard et a décidé d’en faire bénéficier celles qui, comme elle, n’ont pas eu ce luxe-là au départ.
1988, le basculement, Daniel François commence sa nouvelle vie de voyageur à vélo.